jueves, 27 de mayo de 2010

GRAVIOLA Anona muricata L.

Noms communs : Corossol hérisse, huanábano, masasamba, corosol, graviola, anone brésilienne etc.
C’ est le un petit arbre (de 8 à 10 m de hauteur), qui ne cesse d´être cultivé dans presque toute l´Amérique tropicale. Il a des fruits charnus de 15 à 20 cm de longueur, de saveur très agréable et qui sont industrialisés pour la préparation jus, nectars, marmelades, gelés etc.
Dans la médecine traditionnelle ses fruits sont utilisés pour combattre le manque de victamine.
L´écorce, la racine et les feuilles sont utilisés pour traiter le diabète, (en infusion) mais aussi anti spasme.
Les feuilles écrasées avec du sel, appliquées comme emplastos s´utilisent pour les faire mûrir des tumeurs. Les feuilles sont aussi utiles en cuisson, comme digestifs.
Cependant aujourd´hui, son importante réside en la possibilite d´être utilisée dans le traitement de certains types de cancers, par la présence dans les feuilles de substances comme les acetogeninas, qui auraient une activité semblable à celle de certains produits qui sont utilisés en chimiothérapie (comme ce qui est adriamicina), avec la qualité de ne pas présenter leurs effets collatéraux.
Action des acetogeninas dans les cellules cancérigènes
Les acetogeninas, sont des substances cireuses qui résultent s´avèrent de la combinaison d´acides grasses de longue chaîne (C32 ou C34) avec une unité de 2-propanol dans le carbone 2 pour former un terminal lactona (cette lactona reste au début de la chaîne). Une étude effectuée à l´Université de Pardue en Californie, à démontré que les acetogeninas peuvent inhiber sélectivement la croissance de cellules cancérigènes et inhiber aussi la croissance des cellules de la tumeur, résistants à celui adriamicina (drogue chimatherapeutique), en respectant l´intégrité des cellules des tissus sains. Dans une autre étude effectuée par des scientifiques la même Université, on a démontré que les acetogeninas du corossol hérisse (graviola) sont extrêmement puissantes en ayant une ED50 (dose létale 50) de jusqu´à 10 - 9 microgrammes par millilitre, en résultant avoir quelque 10.000 fois la puissance de ce qui est adriamicina.
Des études effectuées entre 1998 et 2000 par McLaughlin et par Chih Hw, Chui HF ont révélé que les acetogeninas sont inhibitrices du complexe I de la chaîne en renforcant l´ oxydante et par conséquent bloquent la formation d´ATP ; énergie qui a besoin de la cellule cancéreuse qui met en marche sa bombe à moitié par P glucoproteíne, qui lui permet d´être maintenue active. Les acetogeninas, inhibent aussi l´ubiquinona oxidasa, enzyme dépendante du NADH qui est particulière dans la membrane plasmatique de la cellule cancéreuse. McLaughlin a effectué ses recherches avec les acetogeninas Bullatacin et Bullatacinone.
Des études dans les Caraïbes suggèrent une consammatioon de ces fruits dans des cas atypiques de la maladie de Parkinson étant donné la concentration très haute de annonacina. La concentration de annonacina dans les fruits (15 mg/fruta) ou dans le jus commercial (36 mg/lata) est cent fois plus grande que dans le thé élaboré à partir de ses feuilles (140 μg/taza).
Comme nous pouvons voir les possibilités d´utilisation thérapeutique des feuilles de cette plante en contribuant dans le traitement de certains processus intelligents, ils sont très grands, il y a des études pre-clinique qui démontrent leur activité et dans une certaine manière aussi est garanties par la médecine traditionnelle qui les USA dans des cas de tumeurs malignes superficielles sous forme de emplasto des feuilles.
Cette plante est prise sous forme d´infusion et seulement 2 tases par jour, dose tu effiloches à jour, dose qui ne doivent pas être dépassé puisque les feuilles contiennent aussi annonacina qui comme nous l´avons vu précedemment, pourrai avons en haut vu des lignes pourrait produire des formes atypiques de Parkinson.
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